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mardi 28 août 2018

Aquarelle Marie K. d'après Berthe Morisot - Dans le parc

Aquarelle Marie K. d'après Berthe Morisot - Dans le parc
Ne dormant pas cette nuit entre quatre heures et six heures au moins, j'ai revisité mon blog Miscellaneous et j'ai retrouvé cet article (ci-dessous) datant du 9 novembre 2013.


10 commentaires:

  1. Qu'elle est belle ton aquarelle Marie! C'est bizarre je trouve depuis quelques temps ta façon de peindre différente.. Plus de contrastes? des couleurs plus soutenues? Plus de "vie", d'intensité? Je ne saurais dire, mais c'est très réussi.
    Bisous et belle journée à toi!

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    1. Je te vois venir avec ton "intensité" ;-D Finalement, tu as peut-être raison, il y a plus d' "intensité" en moi depuis quelques semaines, ma peinture s'affermit semble-t-il. je n'hésite plus à écraser le pinceau dans les godets d'aquarelle et à multiplier les couches de peinture.
      Gros bisous et belle journée ♥

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    2. ah ah je suis démasquée!
      mais je t'assure que tes couleurs sont plus vives!! ;-)

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    3. J'en profite pour te redemander le titre du livre que tu as lu sur Vincent. Je l'avais noté sur un papier volant, que j'avais d'ailleurs oublié en partant au Leclerc, si bien que je n'ai pas pu feuilleter le livre (si toutefois je l'avais trouvé)...
      et maintenant je ne sais plus où j'ai mis mon papier... ;-)

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    4. Je m'en aperçois en effet. :-)

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    5. Vincent qu'on assassine, de Marianne Jaeglé. je crois que le titre figure sur mon blog Miscellaneous, dans un article de mi-juillet.
      Ensuite j'ai lu La veuve des Van Gogh, de Camilo Sanchez, pas mal non plus, mais rien à voir avec le précédent. C'est sur la façon dont les oeuvres de Vincent ont pu être portées à la postérité (ainsi que ces lettres magnifiques).
      Et là je lis une biographie superbe : Van Gogh, par David Haziot. Comme j'ai beaucoup peint ces derniers temps, j'ai un peu délaissé la lecture et je n'en suis qu'à la moitié. Et j'en ai un autre en projet mais pas encore acheté.

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  2. Merci Marie.
    Je me rappelais parfaitement que tu en as parlé dans un de tes articles mais je ne savais plus lequel. Je ne sais plus si je te l'avais dit (sûrement que oui, mais tant pis, je vais radoter) au moment où tu lisais Vincent (Van Gogh) je remontais la branche d'un Vincent ancêtre de mes filles. Il y a eu une résonance en moi lorsque tu as parlé de ce livre et je pense qu'il y a une bonne raison à cela.
    Par ailleurs, savais-tu que peu avant qu'il naisse, - je parle de Van Gogh - ses parents ont perdu un fils, Vincent (1852) et du coup ont appelé Vincent qui est né l'année d'après, avec le même prénom! Or, dans les articles sur le syndrome du gisant que j'ai lu (tu évoquais justement la chose dans ton dernier mail), dans le prénom Vincent tu entends "Vint sans" (son frère, sa soeur, son ancêtre.....).... Enfin bref, ce serait la raison pour laquelle il n'a pas aimé que son frère Théo appelle son fils Vincent (janvier 1890!) alors que le peintre est décédé le 27 juillet me semble-t-il, date très parlante pour moi c'est pourquoi je m'en rappelle.
    Il est à parier que le neveu Vincent a eu aussi une sacrée charge générationnelle sur les épaules!
    Je viens de trouver un lien:
    http://www.van-gogh.fr/la-famille-van-gogh.php

    Bon, voilà, gros bisous Marie! la suite en mp, bientôt!

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    1. Bonjour Ambre, je me souviens parfaitement que tu faisais des recherches sur un prénommé Vincent de la branche paternelle de ta fille au moment où j'ai publié mon article sur Vincent. Oui, j'avais lu en effet que Vincent VG était né un an jour pour jour après un premier enfant décédé et portait exactement les mêmes prénoms Vincent Willem. Cela dit, dans la famille VG, il y avait d'autres Vincent, notamment un oncle qu'ils appelaient "oncle Cent". Cela dit, l'histoire du "gisant" peut tenir la route dans la vie de Vincent et peut-être celle de son neveu dont je ne sais rien. La brouille avec Théo n'est pas venue de là et est bien antérieure à la naissance du petit Vincent. C'est surtout Johanna, la femme de Théo, qui a regretté qu'ils aient appelé leur enfant Vincent au moment du "suicide" (thèse officielle aujourd'hui sujette à de gros doutes) de son beau-frère. Il est mort le 29 juillet mais a reçu la balle mortelle le 27 juillet (1890). Je me souviens aussi que tu m'as dit que tes aïeux vivaient à Auvers-sur-Oise lorsque Vincent y était. Sans doute l'ont-ils croisé et peut-être bien connu ? Merci pour ton lien. Je vais aller lire cela. Gros bisous et belle journée.

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  3. Bonjour Marie,
    ça y est j'ai le livre de Marianne Jaegle. Ne m'intéressant pas plus que ça à la peinture ni à VG sauf grâce à notre amitié, j'ai été surprise d'être totalement happée par la lecture immédiatement. Merci pour cette belle découverte.

    Il est possible que je ne t'écrive pas tout de suite, trop le moton, trop-trop dur en ce moment. Je vais plutôt essayer d'évacuer avant. Je te fais plein de bisous et te dis à bientôt.

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    1. Bonjour Ambre,
      Je suis super contente de savoir que tu as accroché à cette lecture. J'ai bien reçu tes deux mails de ce matin. Comme tu t'en doutes, pas le temps de te répondre tout de suite ni même aujourd'hui mais je suis en pensées avec toi. Gros bisous. A bientôt.

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